Cela fait près d’un an qu’un article qui m’agace demeure ouvert sous l’un des onglets de mon navigateur. Petit texte d’à peine 3 minutes à lire, mais si lourd de conséquences qu’il m’a laissé sans voix… jusqu’à ce matin. En fait, c’est un exemple flagrant du mur auquel les solos se frappent en continu.